L'équitation

Voilà moi ma passion c'est les chevaux,ça fait 6ans ue je monte, j'ai monté pendant 3ans dans un centre équestre et là, ça fait 3ans que je monte une jument d'une proprio. Et d'ici 2ans, j'ai mon cheval

Si vous vous posez certaines questions, n'hésitez pas

Et quelqu'un pratique aussi ici ou a déjà pratiqué

J'ai toujours hésité pour monter un cheval, est-ce difficile ? Il y en avait un dans le champs de ma grand-mère, on m'avait proposé de la monter mais à cru. C'était une jument docile. Je n'ai pas voulu à l'époque car j'avais peur de la monter, de tomber mais maintenant je le regrette. De plus, elle m'avait adopté.

salut j'aimerais faire du cheval, mais je ne sais pas ou aller...et un j'aimerais en avoir un plus tard....

Fanouchka, monter à cheval n'est pas difficile si tu as un cheval gentil et qui accepte tout maintenant, c'est vrai, ça dépend des chevaux mais bon, une fois qu'on s'est monter c'est pas très difficile.
mais pour une première fois, c'est vrai que monter à cru fait peur, moi au début j'avais très peur des chevaux et au fur et à mesure de trainer avec ma soeur au centre équestre, j'ai adoré ça après.

Dravinou, si tu veux commencer à monter, va dans un centre équestre, c'est là où t'apprend le mieux pis pour avoir un cheval vaut mieux savoir bien bien monter car en dehors des centres équestres, les chevaux sont pas du tout pareils. Mais bon c'est vrai qu'avoir un cheval, c'est un peu un reve.

ok merci je vais voir ce qu il y a proche de paris... c est a peu pres combien le cout pour un an?


Lilinette si tu peux edite ton message et remplace les c par c est...

Dans un centre équestre, c'est assez cher, d'ailleur l'équitation est un sport cher, moi dans le mien, je payais tous les trimestres dans les 300 euros donc faut compter 100 euros par mois et chaque année tu dois encore payer une cotisation qui te sert d'assurance qui coute aussi dans les 200euros.
Voilà c'est super cher, en plus quand tu veux ton cheval à toi après, tu dois encore acheter ta selle, filet ce qui coûte aussi assez cher.
En plus, sur Paris, à mon avis c'est assez cher mais tu peux toujours trouver un petit club sympa.

Aux alentours de Clermont-Ferrand, c'est peut-être moins cher , quand pense-ti Lilinette ?

Et un cheval ca coute combien ?

Je sais pas trop ça devrait aller à Clermont ferrant, maintenant faut voir, c'est sûr que si vous allez dans un grand centre équestre réputé, qui vont tout le temps en concours, ça risque de coûtait plus cher qu'un petit centre équestre. Mais perso, pour commencer mieux vaut vser un petit centre équestre sympa qui ne vont pas vous forcer à aller en concours.

Les chevaux, on en trouve à tous les prix, ça dépend ce que tu veux lili, moi mon cheval que je vais acheter coûte 2500 euro mais c'est encore un poulain, maintenant, t'en a à 1000euros, ce sont le plus souvent des jeunes chevaux (4/5ans) qui sont des chevaux de courses car à l'age là, ils sont déjà trop vieux pour les courses, donc sont vendu. Mais ceux_là, ils leurs faut un sacré boulot car en général, ils sont un peu foufou dans leurs têtes.

merci pour toutes ces explications! je m y mettrais surment bientot...c est mon reve depuis tout petit!

Les chevaux je ne les aime que dans mon assiette

Super, ravie pour toi

C'est vrai que le cheval est le meilleur ami de l'homme qui lui fout des coups de cravaches et des coups de pieds pour que les prolos puissent aller dépenser leur salair au bar PMU du coin.

Manuel du SavoirVivre
à l'usage des rustres et des malpolis

TEXTE INTÉGRALE

Exemple de recette de cuisine :
le cheval-melba

Comme le dit si bien mon camarade David Hamilton : « Pour être écrivain, on n'en est pas moins Zoom. » Je prie le lecteur de bien vouloir me pardonner ce lapsus linguae totalement inexplicable. Je le précise à l'in tention des milliers de Français qui ne font pas de photo, un zoom c'est un machin qui peut être grand comme ça et large comme ça, voir figure 1. On utilise le zoom dans des cas exceptionnels. Par exemple, si la chèvre est trop loin, on sort son zoom... « Clic, Clac, merci biquette! » Je dis ça pour les ama teurs de photos de chèvres, qui sont légion. Mais on n'est pas obligé de tirer.., le por trait.., on n'est pas obligé de photographier que des chèvres. Personnellement, je préfère photographier des militaires. C'est moins c** qu'une chèvre. C'est vrai ; à un militaire vous dites : « Ne bougeons plus », il ne bouge plus. Alors que je connais des chèvres qui se débattent.

Le plus beau militaire à photographier, c'est le Cosaque, « car il a des bottes, il a des bottes bottes bottes, il a des bottes bottes bottes il a des bottes pointues ». Pour bien prendre le Cosaque, il faut lui laisser ses bottes. Le Cosaque est le plus beau militaire du monde. Dommage qu'il soit communiste. Le Cosaque est un cavalier exceptionnelle ment doué. Il ne monte que quand il est franchement bourré à la vodka au poivre. Alors, il met sa belle chéchia d'un beau rouge bolchevik, et c'est parti, les chevaux abordent à présent le virage des tribunes, Chalia et Roqué sont en tête. (Le nom entier c'est Chaliapine et Roquépine, mais je sais que Jean-Paul II me lit.) -Donc : « Les che. vaux abordent le virage des tribunes et c'est... Une de merde qui passé le poteau en tête, montée par Yves Saint-Martoff, ivre mort : toque rouge, cosaque noir ! »

Alors, bon.

Pour bien photographier votre Cosaque, vous lui laissez ses bottes mais vous virez le cheval. Vous mettez le cheval de côté, et vous le laissez mariner là pendant toute une nuit. S'il se sauve, faites-le revenir avec deux échalotes et une pointe d'ail dans un mélange de beurre et d'huile végétale. Il faut un beau cheval. Comptez mille huit cents kilos pour un goûter de trois mille personnes environ. Laissez-le bien dorer. Puis passez au chinois. Ou au nègre si vous n'avez pas de chinois. Prenez un immense fait-tout grand comme ça, voir figure 3 ; aujourd"hui je ne fais pas de figure 2, j'ai la flemme. Prenez un immense fait-tout grand comme ça, et rém plissez-le d'eau jusque-là, voir figure 5; excusez-moi, je suis vraiment crevé ; mettez votre cheval dont vous aurez eu soin d'ôter les yeux pour que bébé lui aussi puisse jouer au tennis sans danger : un oeil de cheval dans la gueule, ça fait même pas mal. Mettez votre cheval dans le fait-tout.

Quand l'eau frémit, le cheval aussi. A l'aide d'une écumoire, chassez le naturel. S'il revient au galop, c'est que votre cheval n'est pas assez mort. De mon temps on achevait bien les chevaux, mais les jeunes d'aujourd'hui ne savent pas bien tuer leur cheval. Je regardais l'autre jour un abattage de chevaux public. Je ne sais plus si c'était à Vincennes ou à Longchamp : on voit bien les jockeys filer des coups de godasse dans le bide des chevaux, on ne peut pas dire qu'ils n'y mettent pas d'ardeur, mais il faudrait des jockeys plus grands et des éperons plus pointus en Teflon inusable. « L'éperon Téfal à double lame, pour nous les cracks. La première lame rentre dans le bide sans arracher le poil. La deuxième lame sort du bide sans arracher le foie. Téfal : l'autre façon d'être à cheval. »

Alors, bon.

Poursuivons cette délicieuse recette du cheval Melba qui me vient d'un dîner de belles têtes chef Paul Beau-cul. Je disais que pour bien tuer un cheval, il y a des méthodes plus rapides que la course à Longchamp. La corrida est nettement plus expéditive, et on voit le cheval saigner, ce qui présente en outre l'avantage de faire trembloter d'une ultime jouissance la cellulite fessière des mémères emperlouzées engoncées dans leur gaine à la cinquo de la tarde. On peut également essayer de tuer un cheval en le faisant tourner comme un c** autour d'une piste de cirque, mais il y faut plusieurs années et la viande est un peu dure. (Dans ce dernier cas, pensez à plumer le cheval avant de le cuire.)

Alors, bon.

Quand l'eau a bouilli pendant vingt minu tes, retirez le cheval. Attention : s'il est rouge, c'est un homard. Et si c'est un homard... j'arrive, je suis pas raciste. Voilà, voilà un jeu de mots spirituel : si c'est un homard j'arrive. Omar Shariff. Voilà un bicot sympa. Et sa femme ! Voilà une femme fidèle! C'est la femme d'un seul homme. Contrairement à toutes ces chiennes qui couchent à droite à gauche. Et encore. Si elles couchaient à droite ou à gauche avec le même. Madame Shariff, c'est un modèle de fidélité conjugale. Elle me l'a dit hier encore : « Non, Pierre, je vous en prie : je n'accepte de bise que de omar. »

Alors, bon.

Pour la photo du Cosaque, vous ôtez le cheval, vous laissez les bottes, vous zoomez, ouverture à 2/8, tâchez de cadrer un bout du Don, on y est ? Ne bougeons plus... « Clic, Clac, merci Cosaque ! »

De cheval

(7 avril 1986)



Un ami hypersensible m'est revenu des antipodes sens dessus dessous.
Pour avoir assisté, dans la banlieue de Melbourne, aux finales du championnat de lancement de nains sur matelas. Il dit que ce n'est pas drôle, et de nombreux nains ne sont pas loin de partager cet avis.
Il me semble en effet qu'il serait plus amusant de lancer des jockeys. D'autant que ce serait une bonne action. J'en ai parlé à mon cheval. Il opine. Les jockeys ne se doutent pas à quel point les chevaux les détestent. En réalité, les jockeys ne comprennent rien aux chevaux. Je regardais l'autre jour sur Canal +, avec un certain ébahissement, M. Yves Saint-Martin, qui n'est pourtant pas la moitié d'un c**, occupé à flagorner une jument dans les allées cavalières de Chantilly.
- Oh, la grosse mémère. Oh, voui c'est la grosse mémère. Elle est mimi la mémère, minaudait-il en flattant l'encolure de l'ongulée.
Car les chevaux sont tous des ongulés. Mais ce n'est pas une raison pour les prendre pour des cons.
M. Saint-Martin avait beau dire à la caméra, l'oeil mouillé de tendresse, qu'il aimait les chevaux d'amour, la jument n'y croyait pas du tout. Mon cheval re-opine.
- Pour quelle raison, dit-il, des animaux comme moi, que Dieu a créés pour qu'ils broutent et baisent à l'aise dans les hautes herbes, se prendraient-ils soudain d'affection pour des petits nerveux exaltés qui leur grimpent dessus, les cravachent et leur filent des coups de pied dans le bide dans le seul but d'arriver les premiers au bout d'un chemin sans pâquerettes, pour que les chômeurs puissent claquer leurs ASSEDIC le dimanche ? En réalité (c'est toujours mon cheval qui parle), les jockeys aiment les chevaux comme les charcutiers aiment les cochons. C'est un amour dénaturé, pervers, qui pousse le charcutier, tronçonneur de gorets s'il en est, à signaler la présence de sa boutique par un cochon en bois hilare ceint d'un tablier blanc. Et c'est le même anthropomorphisme malsain qui incite des publicitaires tordus à vendre des épices par le biais du spectacle incroyable d'un boeuf complètement taré et tout à fait ravi à l'idée qu'on va le bouffer avec de la moutarde, mais pas avec Amora, parce que, meugle-t-il : "Il n'y a que Maille qui m'aille." Et les chasseurs, mon cher Pierre, qui affirment sans rire qu'ils chassent parce qu'ils aiment la nature. Peut-on entendre propos plus consternant de sottise dans la bouche d'un homme ?
- Tu as raison, Reviens, lui dis-je (car mon cheval s'appelle Reviens, je le précise à l'intention des éventuels bouchers hippophagiques qui auraient survécu à la récente épidémie de piroplasmose). Tu as raison, Reviens, mais plus dégénéré que le chasseur, il y a. Il y a le pêcheur qui affirme que le chasseur est un tueur sans pitié, alors que lui-même accroche par la bouche et fait souffrir à mort des carpes encore plus innocentes qu'immangeables. Ou le dompteur qui déborde, pour les lions en cage, du même amour que Louis XI réservait à La Balue.
- Y a des coups de sabots dans la gueule qui se perdent, soupira mon cheval. L'autre nuit, ajouta-t-il en riant, j'ai fait un rêve absolument charmant. C'était dans une arène, la vache qui rit attrapait un matador par la peau du cul, le jetait par terre, et lui piétinait les oreilles et la queue.
Je convins que c'était amusant.
- Allez, viens, Reviens, on va se promener, lui dis-je, appelle le chien et les enfants.
Et nous voilà partis à grands pas dans les chemins forestiers, tous derrière, et lui devant.



Quant à ces féroces soldats, je le dis, c'est pas pour cafter, n'empêche qu'y font rien qu'à mugir dans nos campagnes.

On ne le dira jamais assez : Desproges était un génie

J'ai pas eu la force de tout lire, surtout que ça doit être des conneries lol, mais j'ai lu le truc sur les jockeys, mais je suis entierement de l'avis du "cheval",on peut pas appeler ça des cavaliers car ils bousillent les chevaux plus qu'autre chose, d'ailleurs certains cavaliers de haut niveau aussi mais bon, ya des cons partout.
Mais bon en général, je n'écoute pas les gens qui ne connaissent pas l'équitation, j'ai la preuve à la maison, ça blâme mais ça ose pas monter dessus!

heu j'arrive après la bataille mais moi aussi j'adore
l'équitation, étant petite je rêvais d'avoir un poney...

Que ceux qui comprennent l'anglais expliquent aux autres :

Jerry Seinfeld - La remarque du poney (Saison 2)

J'ai adoré ce que tu as mis sur le cheval, ça m'a bien fait rire.

Cheval




Un article de la dÉsencyclopédie.



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Espèce de tétrapode quadrupédique, souvent qualifié de "plus noble quéquete que l'homme", par pure jalousie de ce singe savant.
En effet, la vie de cheval est le rêve de tout humain : passer la journée à brouter des touffes de gazon, se reproduire à l'envie, dormir, manger et boire à volonté. Par pure vengeance, l'homme lui imposa donc l'équitation (action de tabasser un cheval à coup de cravache, tout en lui arrachant les molaires et en le piquant à coup d'éperons), l'enfermement perpétuel, et la castration. Castration qui permit donc à l'homme de conserver sa dignité, surtout vis à vis de sa femme, qui lorgnait un peu trop du côté de certains attributs du noble animal. L'habitat naturel de l'animal est typiquement un pré boueux, gelé en hiver, envahi par les mouches en été, et entouré de clôtures électriques ou barbelées. Certaines espèces se développent également particulièrement bien dans des sortes de cages géantes vaguement paillées, qui ressemblent à s'y méprendre à une prison moyenne, la télé et le ramassage de savonette dans les douches en moins, qu'on nomme communément "boxes" ou "stalles". La subtile différence est que la stalle est au box ce que la camisole de force est au boulet attaché au pied du bagnard. C'est subtil, mais c'est comme ça. Les espèces se développant à l'intérieur semblent également bien évoluer dans de grands espaces stériles remplis de sciure, dans laquelle leurs cavaliers se plaisent à tomber.


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Morphologie


Un cheval est globalement composé des parties suivantes :

• Une tête, ne contenant manifestement pas grand chose
  
• Un corps, plutôt gros, voir gras.
  

Haha, vous pensez retrouver toutes les caractéristiques de la femme ? Détrompez-vous, le cheval possède aussi :

• Une verge énorme.
  
• Quatre pattes. Ou plutôt, vous diront les cavaliers, des "membres". Encore cette histoire de "plus grande quéquette de l'homme"... Un nombre variable de membres, donc. Bin oui, y'a les juments, aussi...
  

Notez également que le nombre de vertèbres lombaires et coccygiennes du cheval peut varier selon sa race, et que certains chevaux (les mâles) ont des dents surnuméraires appelées "crochets", mais ça, tout le monde s'en fout.






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Utilisation


Comme le disait Tonton Churchill, un cheval, c'est dangereux devant, derrière, et inconfortable au milieu.
Notez que quand on marche devant, derrière ou sur les côtés du cheval, on a vite mal aux pieds. Et que quand on est dessus, c'est dangereux de tomber, surtout que les instructeurs facétieux ont la fâcheuse manie de laisser traîner des objets contondants (plots, barrières, obstacles) un peu partout. Donc le cheval est dangereux partout. Et inconfortable partout aussi, c'est la vengeance de l'animal sur l'homme. On se servait donc de la dangerosité du cheval. Pour torturer les gens qu'on n'aime pas, par exemple. De nombreux documents historiques ont ainsi établi la véracité de certaines rumeurs concernant des empalements sur des cornes de selles western, qui expliquerait la démarche chaloupée de certains cow-boys un peu trop solitaires (voir Brokeback Mountain ). De même, sous l'époque napoléonienne, on envoyait les sous-officiers les plus cons sur des chevaux pour aller servir de chair à canon, tandis que les officiers napoléoniens les plus intelligents étaient tranquillement planqués dans les batteries d'artillerie (voir Napoléon). On peut aussi en faire des merguez, de la pâté pour chats, enfin tout ce qui peut se manger d'une façon ou même d'une autre. Les prussiens comme les napoléoniens ne se sont d'ailleurs pas privés durant les campagnes de Russie. C'est l'énorme avantage du cheval sur le Panzer : un blindé, même en panne sèche, n'est à priori pas comestible. C'est d'ailleurs là l'explication de l'échec d'Hitler durant la campagne de Russie: si les allemands avaient troqué leur cavalerie blindée contre de la cavalerie comestible, ils n'auraient pas crevé de faim devant Stalingrad.